Peut-On Être Rémunéré Pour Travailler Dans Un Jeu Vidéo? [Solved]

Réponse (1 sur 4) : Bien sûr. La conception d'un jeu vidéo est un secteur de travail à part entière. Il est totalement possible de gagner sa vie en étant graphiste, codeur, concepteur etc.

Le game designer, responsable de l’environnement du jeu et doté de responsabilités, pourra prétendre à 2.000 euros brut par mois dans un premier temps.

Les jeux vidéo représente un passe-temps extrêmement amusant, et le transformer en un revenu à temps plein est le rêve ultime de nombreuses personnes. Heureusement pour vous, ce n’est pas seulement possible car les jeux vidéo peuvent vous faire gagner plus qu’un emploi traditionnel.

Il est rémunéré par la société Riot Games pour promouvoir le jeu League of Legends dans le monde. Pour cela, il s’assure de mettre ses parties et ses sessions d’entrainement dans sa chaine de streaming et sur les différents réseaux sociaux. Et vu les rémunérations offertes, la promotion de jeux vidéo ne peut qu’être un métier d’avenir.

Si la rémunération d’un testeur jeu vidéo (après une formation Licence pro métiers du jeu vidéo) peut s’afficher à plus de 30 000 euros brut annuels après quelques années d’expérience, en début de carrière, celle-ci sera plutôt de l’ordre du SMIC. De l’autre côté de l’océan Atlantique, les salaires sont plus ou moins identiques.

Les salaires ne sont pas très élevés par rapport aux autres métiers du jeu vidéo. Un testeur est généralement rémunéré à la mission, le plus souvent sur la base d'un S.M.I.C. A savoir : le testeur a souvent plusieurs employeurs.

Le testeur de jeux vidéo peut travailler pour des magazines ou des sites spécialisés dans le secteur, ...

Soyez rémunéré (e)s pour tester des jeux vidéos Testez des jeux vidéos, jeux mobiles et plein d’autres nouveautés chez vous, à distance ou dans les locaux de nos clients. Nous offrons les plus hautes rémunérations du marché, jusqu’à €50 de l’heure, le tout payé en 10 jours sur votre compte. Participez au développement des jeux de demain.

Il ne faut pas non plus oublier le marché du "casual".